🇬🇧 LE MET OFFICE DU ROYAUME-UNI PRIS EN FLAG PAR L'UTILISATION DE DONNÉES DE TEMPÉRATURE EN PROVENANCE DE STATIONS QUI N'EXISTENT PAS POUR SOUTENIR DES POLITIQUES CLIMATIQUES Le Met Office britannique fait face à des questions délicates après qu'un enquêteur a découvert que plus de 80 % de ses sites de surveillance de la température sont classés comme "déchets" avec des incertitudes de mesure de 2°C à 5°C. Ce n'est pas une faute de frappe – 5 degrés Celsius d'erreur potentielle. Il ne reste que 19 sites de classe 1 en parfait état capables de mesurer avec précision la température ambiante réelle. Les autres ? Situés sur des pistes d'aéroport, dans des jardins clos, à côté de routes principales et à l'intérieur de fermes solaires. Des endroits où le béton, les moteurs et les infrastructures créent des îlots de chaleur artificiels qui n'ont rien à voir avec les changements de température atmosphérique. La base de données du Met Office contient également des données provenant de plus de 100 stations qui n'existent pas. Ils utilisent des températures "estimées" provenant de stations voisines non identifiées et les présentent comme des données réelles. Lorsque le journaliste Ray Sanders a commencé à poser des questions par le biais de demandes d'accès à l'information, le Met Office les a rejetées comme "vexatoires" et "non dans l'intérêt public." Après des demandes des médias, le Met Office a discrètement retiré les données estimées de 3 stations inexistantes. Sur 17 nouveaux sites ouverts depuis avril 2024, près de 65 % ont été immédiatement classés dans les pires catégories de qualité. Le ministre britannique de la science, Lord Patrick Vallance, qualifie l'examen de ce désordre de "désinformation" qui affaiblit la confiance dans la science. Peut-être que ce qui affaiblit réellement la confiance dans la science, c'est d'utiliser des relevés de température provenant de thermomètres imaginaires à côté de moteurs à réaction pour justifier des politiques Net Zéro de plusieurs trillions de livres qui redéfinissent l'ensemble de l'économie. Les données pourraient être adéquates pour les prévisions météorologiques de demain. Les utiliser pour révolutionner l'infrastructure énergétique de la Grande-Bretagne ? Cela nécessite des stations qui existent réellement. ...